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Ma sélection
(7 Objets)

Ma sélection (7 Objets)


Cheminée de style Louis XVI en bois décorée d'une scène de mythologie

Dimensions
Largeur : 128 cm
Hauteur: 250 cm
Profondeur : 12 cm
Largeur intérieure : 45 cm
Hauteur intérieure : 54 cm

KOENIG & LAFITTE - Vitrail aux liserons

Ref.15080
KOENIG & LAFITTE - Vitrail aux liserons

Ce vitrail est dû à Paul Koenig et Lafite, qui l’exécutèrent dans les premières années du xxe siècle, lors de l’épanouissement de l’Art Nouveau et plus spécifiquement de l’École de Nancy. Ce dessinateur et graveur, né à Épinal en 1883, était associé à Lafitte, un peintre verrier. Leurs créations s’inscrivent dans la production de l’École de Nancy. Celle-ci, fondée en 1901 par Emile Gallé, Louis Majorelle, Antonin Daum et Eugène Vallin, avait pour objectif de développer les arts décoratifs en province, et devient le fer de lance de l’Art Nouveau. Notre vitrail adopte une forme cintrée. Le motif se répartit en six grandes planches distinctes. La partie supérieure en compte trois, séparées par deux arcs s’évasant vers le haut. Elle est bordée d’une bande de verre rose, laquelle est recouverte par endroits de délicates fleurs et feuilles de liseron, qui soulignent la courbure de l’arc supérieur. Leur dessin est particulièrement fin et précis. Au centre, le verre est presque transparent, mais les lignes de plomb les maintenant en place s’évasent en suivant la courbure des arcs verticaux. La partie inférieure du vitrail comporte une grande partie centrale en verre martelé vert tendre, qui épouse la forme de l’arc la séparant de la partie haute, et en bas suit la forme d’une accolade. Dans les écoinçons, bordés d’une fine ligne de verre rose, deux bouquets de liseron reprennent le motif de la partie supérieure. Cette œuvre peut être rapprochée d’un autre vitrail exécuté par ces artistes, leur vitrail Jasmin de Virginie. Celui-ci, quoique d’une forme générale plus traditionnelle, est également orné d’une bordure rose (quoique d’une couleur plus soutenue). La forme d’évasement de notre vase est reprise, avec variation. Par ailleurs, la variété de fleurs représentée, une essence originale et exotique, prouve l’intérêt que Koenig portait à la flore en elle-même. Comme pour le vitrail aux liserons, les fleurs sont représentées en bouton en partie basse, et s’épanouissent de manière croissante en allant vers le haut.

Dimensions
Largeur : 115 cm
Hauteur: 246 cm
Profondeur : 6 cm

Trumeau de style Louis XV orné d'une palmette en peinture dorée

Dimensions
Largeur : 112 cm
Hauteur: 214 cm
Profondeur : 18 cm

Emile Hébert et Georges Servant, Pendule de style Égyptomanie, XIXe siècle

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Emile Hébert et Georges Servant, Pendule de style Égyptomanie, XIXe siècle

Cette très belle pendule de Georges Servant et Emile Hébert est de style Egyptomanie et date du XIXe siècle. Elle est composée d’éléments en bronze patiné et doré et en marbre rouge Griotte et Onyx noir. Au sommet d’un socle pyramidal à base évasée se trouve une magnifique Cléopâtre vêtue à l’égyptienne et non pas à la grecque, ce qui correspond tout à fait aux canons de représentation de la reine-pharaon au XIXe siècle. Elle est reconnaissable notamment grâce à son Ouas, le sceptre à tête de Seth que possédaient les pharaons, mais aussi à la fleur de lotus qu’elle tient nonchalamment entre ses mains délicates. Tel un attribut, cette fleur, symbole du cycle de la vie et du renouveau en Egypte antique, figure à plusieurs reprises dans des représentations de Cléopâtre contemporaines de cette pendule. Alexandre Cabanel, Cléopâtre essayant des poisons sur des condamnés à mort, huile sur toile, 1887, collections du Musée royal des Beaux-Arts d’Anvers, Tous droits réservés Jean-Baptiste Clésinger (1814-1883), Cléopâtre offrant la fleur de lotus à Antoine, bronze Le cadran circulaire est encadré de hiéroglyphes stylisés et surmonté d’un disque solaire ailé au centre duquel nous retrouvons un scarabée. Deux lions accroupis ornent les côtés, ils symbolisent la royauté. Au dos de la pièce, l’artiste a choisi de représenter la déesse Isis que les pharaons considéraient comme une figure maternelle et protectrice. En 1855, Georges Servant (1828-c. 1890) reprit la fonderie de son père rue Vieille-du-Temple à Paris. Sa production tourne autour des objets décoratifs de style grec mais aussi néo-égyptien en réponse à l’Egyptomanie croissante durant la seconde moitié du XIXe siècle. Le talent du bronzier fut reconnu à maintes reprises, notamment aux Expositions universelles de Paris en 1855, 1867 (médaille d’or), 1874 (Chevalier de la Légion d’honneur) et 1878 (membre du jury). Sa présence fut aussi remarquée à l’étranger, que ce soit à travers sa participation à l’Exposition universelle de Londres en 1862 ou encore ses ventes de pendules au sphinx auprès de Louis C. Tiffany et Hamman & Roche aux Etats-Unis. Quant à Emile Hébert (1828-1893), il fut l’élève de son père Pierre Hébert et de Jean-Jacques Feuchère. Il exposa au Salon des artistes français de 1849 à sa mort mais aussi aux Expositions universelles de 1855, 1867 (médaille d’or) et 1878 (médaille d’or). Les sujets de style néo-égyptien sont tout à fait typiques de sa production et ont grandement contribué au succès du sculpteur. Dans le rapport du Jury de 1878, il est indiqué que « la ciselure d’Hébert est traitée de main de maître et est fort appréciée des artistes. » Les deux artistes sont connus pour avoir présenté des œuvres ensemble à plusieurs Expositions universelles, notamment des pendules dans le même style Egyptomanie que celle que nous vous présentons ici.

Dimensions
Largeur : 49 cm
Hauteur: 75 cm
Profondeur : 16 cm