Ref.11813
Plaque de cheminée moderne au coq gaulois

Plaque de cheminée en fonte de fer réalisée dans le courant du XXè siècle représentant le Coq Gaulois surmontant deux canons de 75 et leurs boulets. Cette représentation du Coq Gaulois se démocratise à partir de la Première Guerre Mondiale, et notamment 1919 où circule une carte postale célèbre montrant un coq sur un amoncellement de canons allemands sur les Champs-Élysées.

Ref.13030
Belle plaque de cheminée ancienne aux armes d'Albert de Luynes, XVIIe siècle

Cette belle plaque de cheminée ancienne d’époque Louis XIV a été réalisée au XVIIe siècle. Elle présente les armes d'Albert de Luynes tenues par deux hommes sauvages : écartelé aux 1 et 4 d'or au lion de gueuls, aux 2 et 3, à deux louves ravissantes et affrontées d'argent, sur le tout, de gueules à la massue d'or, armée de piquetons d'argent et dressée en pal, au chef du même chargé d'un gonfanon de deux pendant du champ. Une couronne ducale, un manteau de pair ainsi que les Ordres du rois sont représentées. Né le 25 décembre 1620 au Louvre et mort le 10 octobre 1690 à Paris, Louis-Charles d'Albert de Luynes, deuxième duc de Luynes et pair de France, était un traducteur et moraliste français. Il fut notamment le premier traducteur en français de l'œuvre en latin de René Descartes, les Méditations métaphysiques. On lui doit également de nombreux ouvrages de morale et piété. Fils de Charles d'Albert, duc de Luynes, favori de Louis XIII, et de Marie de Rohan-Montbazon (fille d'Hercule), Louis-Charles d'Albert de Luynes fut reçu au Parlement en qualité de pair de France le 24 novembre 1639, pourvu le 6 janvier 1643 de la charge de grand fauconnier et reçu chevalier des ordres du roi le 31 décembre 1661. Il vécut longtemps en intimité avec les Solitaires de Port-Royal, faisant construire un château à Vaumurier, à proximité immédiate de l'abbaye de Port-Royal-des-Champs, y recevant Blaise Pascal et le jeune Jean Racine. « Mestre de camp », il se distingua à la tête de son régiment attaqué par les Espagnols devant Arras le 2 août 1640 ainsi qu'en plusieurs autres occasions. Après son décès, son corps fut transporté et inhumé dans l'église de l'hôpital de Luynes qu'il avait fondé. Une plaque identique est conservée à l'hôtel Bouthillier de Chavigny, 7 rue de Sévigné à Paris, elle est notamment illustrée dans l'ouvrage de Philippe Palasi, Plaques de cheminée héraldiques.

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Plaque de cheminée du XVIIe siècle ornée d’un trophée guerrier surmonté d’un médaillon au double portrait

Ref.14357
Plaque de cheminée, datant de vers 1600, représentant les armes d’Angélique d’Estrées

Ref.5374
Cheminée de style Louis XVI en marbre brèché à coins arrondis ornée d'un tournesol