Ref.1688
Pièce de boiserie en chêne du début du XXè siècle de style Louis XV

Belle pièce de boiserie de style Louis XV du début du XXè siècle réalisée en chêne. Les panneaux la composant sont ornés de panneaux aux moulurations chantournées. Ils sont décorés de motifs sculptés d'inspiration rocaille et d'une grande diversité. Des coquilles et des rinceaux végétaux habillent ces panneaux avec une grand imagination dans la recherche des motifs.

Ref.9813
Plaque de cheminée ancienne armoriée

Très belle plaque de cheminée armoriée du XVIIIè siècle, de style Louis XV .

Ref.2116
"La châtelaine au lévrier", double fenêtre en vitrail signée par Hubert et Martineau Paris

La double fenêtre représente une dame vêtue à la mode du XVIè siècle, se reposant sur un banc à côté d'un lévrier et d'un bassin d'agrément. Le vitrail reprend les techniques du verre émaillé et du verre gravé à l'acide. Hubert et Martineau étaient peintres verriers parisiens dans le dernier quart du XIXè siècle. Ils réalisèrent le superbe décor de la Fermette Marbeuf, un restaurant situé à l'angle de la rue Boccador et de la rue Marbeuf à Paris. Ils réalisèrent également, en 1891 - 1893, les verrières en vitrail de l'église Saint-Rémi de Draveil, Essonne.

Ref.10257
"Vénus demande à Vulcain de forger des armes pour son fils Énée" - Trumeau d'époque Louis XVI en bois sculpté

Rare trumeau de cheminée d'époque et de style Louis XVI en bois sculpté et portant une dorure postérieure. Le bandeau supérieur est orné d'une guirlande de fleurs. De chaque côtés, les montants, en forme de pilastres, portent un chapiteau cannelé et aspergé, soutenant un cordon enroulé d'une guirlande fleurie. Ce cordon figure une guirlande de roses, rubans, carquois, épée, lance, griffon et casque. Dans un encadrement de frise perlée et de raies de cœur se trouve, en partie haute une huile sur toile représentant la scène « Vénus demandant à Vulcain de forger des armes pour son fils Énée » ; et en partie basse un miroir au mercure d'origine.

Ref.03215
DORVAL, émailleur - Triptyque émaillé aux femmes à fleurs de chrysanthème

Signature « Dorval » sur le panneau central.Émail sur cuivre, bois sculpté.Réalisé vers 1900, ce grand triptyque émaillé est d'une exceptionnelle qualité et d'une grande originalité de composition. Ainsi, trois grand panneau émaillé sur cuivre sont enchâssés dans un cadre de bois sculpté où figurent plusieurs espèces de fleurs telles que le chrysanthème, qui est le thème principal de ce triptyque, des fleurs de pavot ou encore des chardons. Les trois panneaux représentent trois femmes richement vêtues et parées. Toutes trois sont coiffées de grandes fleurs de chrysanthème et portent un bouquet de ces mêmes fleurs dans leurs mains. Cette fleur symbolise ici la joie de vivre, la gaieté et l'éternité, ce qui correspond au caractère joyeux de cette composition.Les positions des trois personnages se répondent : tandis que la femme centrale est figurée de façon frontale, les deux autres regardent vers elle. Le panneau central porte la signature de « Dorval » que nous pensons être l'émailleur. Par son jeu sur la végétation et les fleurs, ce triptyque est tout à fait caractéristique de la nouvelle esthétique naissante au début du XXè siècle, l'Art Nouveau.

Ref.11232
Paire de chenets aux putti et chimères, en bronze à deux patines

Belle paire de chenets anciens de style Louis XV réalisés en bronze à deux patines au XIXè siècle. Sur une base feuillagée mouvementée, un putto ailé assis attrape de ses deux mains le cou longiligne d'une chimère menaçante à bec d'aigle. Très beau travail de bronzier. On remarque notamment l'air appliqué et emprunt de sérieux des putti, le regard concentré. Belle ciselure, notamment dans le travail des ailes des chimères et des putti.

Ref.11858
Ensemble de colonnes en bois peint imitation marbre

Lot de six colonnes en bois peint imitation marbre datant de la fin du 18ème siècle. Quelques variations dans les hauteurs.

Ref.11988
Trumeau orné d'une huile sur toile figurant un singe musicien

Trumeau ancien réalisé au XIXe siècle, orné de coquilles, de guirlandes de fleurs en couleurs et d'une huile sur toile figurant un singe musicien.

Ref.4507
Grande cheminée ancienne de style Louis XIV en marbre Rouge Griotte

Cette cheminée a été réalisée à la fin du XIXe siècle dans un beau marbre Rouge Griotte. Il s'agit du modèle à Boudin constitué d'un élégant décor mouluré qui encadre l'intérieur de la cheminée présentant un très riche décor en léger relief.

Ref.11512
Eléments de boiserie de style Louis XV blanc et bleu pastel

Ces éléments de boiseries de style Louis XV ont été réalisés au XIXe siècle. L'ensemble présente un décor panneauté mouluré rehaussé de bleu pastel agrémenté de coquilles, feuilles d'acanthe, de guirlandes fleurs et de tores de feuilles de laurier. Il se compose principalement de deux portes cintrées, d'un trumeau et de portes de placard avec leur encadrement et soubassement.

Ref.4772
Cheminée ancienne de style Louis XV, modèle Pompadour, en marbre Enjugerais

Ref.14649
Paire de lampadaires en fonte en forme de femmes drapées

Paire de lampadaires en fonte en forme de femmes drapées dont l’une en fonte de Denonvilliers est reproduite dans le catalogue de la fonderie de 1894.

Ref.14647
Table de jardin en fonte de fer, fin du XXe siècle

Table de jardin à plateau circulaire sur un piétement en fonte peint de couleur clair, aux formes végétales inspirées de l’Art Nouveau. Il date de la fin du XXe.

Ref.15057
Trumeau de style Louis XVI mouluré

Ce trumeau de style Louis XVI suit la forme d’un simple encadrement rectangulaire mouluré. Tandis qu’un boudin plus imposant orne le cadre vers l’extérieur, une petite frise décorative fait la transition entre l’encadrement et l’intérieur.

Ref.15160
Claude MICHEL, dit CLODION (d’après), Bacchante, fin du XIXe siècle

Cette sculpture de bacchante en marbre fut exécutée au xixe siècle d’après un modèle attribuée à Clodion. Le sculpteur Claude Michel, dit Clodion (1738-1814), était issu par sa mère de la dynastie des Adam, famille de sculpteurs renommée tout au long du xviiie siècle. Il apprit la sculpture à l’école du modèle de l’Académie royale de peinture et de sculpture ; en 1759, à la mort de son oncle Lambert Sigisbert Adam, qui participa probablement à sa formation, il devint l’élève de Jean-Baptiste Pigalle. Il fut pensionnaire de l’École royale des élèves protégés et séjourna à l’Académie de France à Rome. Il apprécia tant son séjour romain qu’il le prolongea de plusieurs années, avant d’y retourner en 1773-1774. Très apprécié sous le règne de Louis XVI, Clodion affectionnait particulièrement les sujets mythologiques. Notre sculpture représente une jeune femme en marche, tenant des grappes de raisin à la main. Tout son corps, tout en torsion, forme un arc : sa tête est levée vers sa droite tandis que le haut de son buste, entraîné par son bras droit, est tourné vers sa gauche ; enfin, sa jambe gauche fait face au spectateur, tandis que sa jambe droite, légèrement pliée, semble la retenir en arrière de ce côté. Elle peut être rapprochée d’une figure de ménade ou de bacchante. En effet, son expression exaltée, sa libre chevelure, sa démarche dansante et sa nudité tout juste couverte par un drapé retenu par une bandoulière l’en rapprochent. Par ailleurs, elle porte des grappes de raisin, symbole bachique par excellence, tandis que d’autres sont tombées à ses pieds ; une amphore renversée symbolise peut-être l’intempérance caractérisant l’univers dionysiaque. Le sculpteur porta une grande attention à l’expression de son visage, dont les traits sont fins, et au détail : la jeune femme porte notamment des bracelets à chaque bras, qui font échos à sa bandoulière ; l’amphore renversée à ses pieds est ornée d’une frise de postes en léger relief. Dans la mythologie antique, les bacchantes étaient les prêtresses de Bacchus qui célébraient les mystères et les fêtes dionysiaques, ou encore les compagnes du dieu, qui marchaient avec son cortège. Les bacchantes étaient considérées comme sensuelles et ayant une sexualité débridée ; notre sculpture, par la sensualité qu’elle dégage et son caractère dansant, fait écho à cette réputation. Cette figure de bacchante est attribuée à Clodion. De fait, le sculpteur exécuta plusieurs terre-cuites sur ce sujet, dont l’une est intitulée Bacchante courant portant des fruits dans sa tunique (vers 1780-1785, terre cuite, collection particulière), et une autre Bacchante courant (entre 1803 et 1804, terre cuite, 38 × 15 × 18,5 cm, Paris, musée Cognacq-Jay). Plusieurs tirages en bronze de cette statue sont connus. Ce matériau met particulièrement en valeur la sensualité de la femme et tous les détails de la sculpture.

Ref.15174
Trumeau de style Louis XVI décor d'instruments de musique

Ref.15399
Trumeau d'époque Louis XVI orné d'une huile sur toile représentant un bord de rivière

Ref.15504
Paire de miroirs de style Napoléon III décor de guirlandes de fleurs