menu
Menu
account_box
Catégories
Contact
email Send us a message

Nous contacter

phone Par téléphone

+33 (0)1 42 25 12 79
Mar. - Sam., de 14h à 19h
+33 (0)6 60 62 61 90
Tous les jours, de 9h à 19h

email par Email

Plans & Adresses: contact@marcmaison.com

share Let's get social

Langue
Et aussi...
Ma sélection
(15 Objets)

Ma sélection (15 Objets)


Willy Guhl, Paires De Jardinières En Fibro Ciment

Ref.13468
Willy Guhl, Paires De Jardinières En Fibro Ciment

Cette paire de jardinière, modèle "oreille d'éléphant" a été réalisée en fibro ciment par Willy Guhl (1915-2004) dans les années 1950. Willy Guhl est le pionnier du design industriel suisse. L'Eternit, un fibre-ciment mis au point pour la fabrication des toitures et des tuyaux, intéresse Willy Guhl pour sa texture fibreuse résistant à la traction, à la rupture et aux variations climatiques. Selon lui, « aucun matériau de construction utilisé de façon si fine ne donne autant de stabilité que l'Eternit. » « Willy Guhl fut un inventeur, un expérimentateur, un chercheur et un visionnaire. Malgré cela, il ne se perdit pas dans l’utopie. Il se révéla être d’un pragmatisme touchant au génie » Robert Haussman Willy Guhl fait parti de ces designers historiques qui ont contribué à la renommée internationale du design helvétique. Il est l’un des grands représentants du néo-fonctionnalisme. De père menuisier, il suit une formation d’ébéniste à la Kunstgewerbeschule de Zurich – Ecole des Arts Appliqués de Zurich où il enseigne aussi dès 1941 -, et en devient le directeur du département d’architecture d’intérieur 10 ans plus tard. Il mène à la fin des années 1940 des recherches pionnières dans le domaine du mobilier en plastique. Il développe alors une connaissance des techniques du moulage qui lui permettront de se révéler en les transposant sur un nouveau matériau: l’Eternit, aussi appelé fibrociment, qu'il est l'un des premiers à utiliser en Europe. L’Eternit est une sorte de ciment renforcé par de l’amiante et à la texture fibreuse, qui permet de créer des pièces audacieuses aux formes nouvelles. Il prend l’aspect de grandes dalles auxquelles il est possible de donner forme tant qu’elles ne sont pas sèches. Produit à l’origine pour l’industrie, c’est un matériau à la fois très peu coûteux et d’une très grande résistance donc parfaitement adapté à la fabrication de meubles d’extérieurs.

Dimensions
Largeur : 85 cm
Hauteur: 35 cm
Profondeur : 85 cm

Pedro RIGUAL - "Chloé", buste en marbre de Carrare, vers 1910

Ref.13748
Pedro RIGUAL - "Chloé", buste en marbre de Carrare, vers 1910

Ce très beau buste Art Nouveau a été réalisé par le sculpteur espagnol Pedro Rigual (Barcelone 1863 - Paris 1917) en marbre de Carrare dans les années 1910. D'abord élève à l'Ecole des Beaux Arts de Barcelone, il passe une partie de sa carrière à Paris où il expose notamment au Salon en 1891, 1892, 1893 et 1897. Il réalise ici le buste d'une jeune femme au regard attendrissant et aux cheveux décoiffés tombant sur sa poitrine et dans lesquels sont entremêlés des fleurs formant une couronne. Le drapé qui cache sa poitrine vient se confondre avec la base de la sculpture sur laquelle a été déposée une flûte de Pan et inscrit le prénom "Chloé". Dans la mythologie grecque, Chloé est un nom attribué à la déesse Déméter (ou à son équivalent romain Cérès) comme protectrice des semences, à laquelle est associée « la notion d’une nature verdoyante et fleurie, où toute plante se déploie et s’épanouit ». Le substantif khlóê (Χλόη) est un terme générique qui désigne l’herbe naissante, la « pousse nouvelle d’un vert clair », « celle qui couvre par son éclat verdoyant plaines et champs », particulièrement, suivant Euripide, la verdure des prés, voire celle de la « prairie intacte, pure » qui n’a connu ni le troupeau du berger, ni le fer de la charrue. « Déméter Chloê » apparaît ainsi comme la déesse « du blé nouveau », « du blé en herbe », protégeant les premières pousses vertes du blé.

Dimensions
Largeur : 37 cm
Hauteur: 53 cm
Profondeur : 23 cm

Cheminée de style Louis XVI en marbre de Carrare veiné aux cannelures

Dimensions
Largeur : 115 cm
Hauteur: 101 cm
Profondeur : 33 cm
Largeur intérieure : 85 cm
Hauteur intérieure : 87 cm

CHARBONNIER (ébéniste) pour L’ESCALIER DE CRISTAL, Cabinet japonisant à panneau laqué coulissant, vers 1890

Ref.12432
CHARBONNIER (ébéniste) pour L’ESCALIER DE CRISTAL, Cabinet japonisant à panneau laqué coulissant, vers 1890

Cet important meuble en placage de palissandre a été réalisé pour l’Escalier de Cristal, après 1885. Fondé vers 1808 par la veuve Désarnaud, L’Escalier de Cristal fut repris par les frères Georges et Henri Pannier à la fin du xixe siècle. Ces derniers s’adaptèrent à la vogue du japonisme, tout en conservant la grande qualité qui faisait la réputation du magasin. Ce meuble figurant dans le carnet bleu d’Henry Pannier, où l’on apprend qu’il a été exécuté par l’ébéniste Charbonnier, il est possible de le dater de 1890 environ, peu après la reprise du magasin par les frères Pannier. L’inspiration de ce meuble trouve sa source dans l’architecture et le mobilier japonais. Il se compose d’un cabinet présentant un grand panneau en laque japonaise orné de motifs floraux et d’oiseaux de couleur or. Fidèle à cette inspiration première, il ne s’ouvre pas à l’européenne mais en coulissant, référence aux murs intérieurs des maisons traditionnelles nippones. Le décor de l’encadrement se compose de dentelle de bois aux lignes rappelant également un vocabulaire ornemental extrême-oriental. Il repose sur un piétement aux côtés débordants orné au centre d’un cœur taillé dans du cristal et encadré de bronze doré que l’on peut attribuer au travail d’Édouard Enot. On retrouve également ça et là sur ce meuble des ornements en bronze doré notamment au dessus des pieds griffes et sur le fronton. L’utilisation de la laque pour orner les meubles fut populaire en Europe dès la fin du xvie siècle, à la suite des premières missions des Jésuites en Asie et de la création de la Compagnie des Indes. Au xviiie siècle, l’invention du vernis Martin permit aux européens de l’imiter au mieux, notamment dans le mobilier et la décoration intérieure. Toutefois, l’ouverture du Japon et l’intensification du commerce avec l’Extrême-Orient dans la seconde moitié du xixe siècle provoqua un afflux de matière première, qui permit aux ébénistes français d’inclure davantage de panneaux de laque dans leurs créations.

Dimensions
Largeur : 88 cm
Hauteur: 192 cm
Profondeur : 46 cm

Manufacture de SÈVRES, Vase d’époque Louis-Philippe orné d’une foisonnante décoration fleurie, 1846

Ref.13741
Manufacture de SÈVRES, Vase d’époque Louis-Philippe orné d’une foisonnante décoration fleurie, 1846

Ce vase en porcelaine présentant une riche ornementation fleurie fut exécuté au sein de la manufacture de Sèvres en 1846. La manufacture de Sèvres fut fondée à Vincennes en 1740. Elle eut rapidement les faveurs de Mme de Pompadour, la favorite du roi Louis XV, et bénéficia d’un privilège royal à partir de 1745. En 1756, la manufacture fut transférée à Sèvres et en 1759, Louis XV en devint le principal investisseur et la plaça sous le contrôle de la Couronne. La découverte du kaolin par deux de ses chercheurs en 1768 permit à l’établissement royal de réaliser des pièces en véritable porcelaine (dite porcelaine dure). Entre 1800 et 1847, la manufacture fut dirigée par savant Alexandre Brongniart, qui lui assura un essor exceptionnel. La manufacture poursuivit ensuite son évolution jusqu’à nos jours, où elle demeure un lieu de création unique. Ce vase fut réalisé sous le règne du roi des français Louis-Philippe (1830-1848). Sa forme générale s’apparente au style alors en vogue. Sur un pied évasé à la base se développe une panse s’élargissant harmonieusement jusqu’au col, allant d’abord en s’amincissant, puis en s’évasant. Les anses prennent appui sur la partie la plus large de la panse. Deux pommes de pin finement exécutées y sont comme rattachées par un ruban, puis une ample palmette orne la base de l’anse qui, après une courbe élégante, vient se rattacher au col du vase avec une volute ornée de deux profils à l’antique, s’inspirant des camées romains. Le décor, très précis et soigné, consiste en de multiples entremêlements et guirlandes végétales et fleuries. La base est ornée d’une frise de feuilles de lierre avec leurs fruits ; la panse présente des guirlandes de roses d’un côté, d’asters de l’autre et autres fleurs plus discrètes de part et d’autre comme le liseron, les violettes cornues ou les fleurs d’onagre ; derrière la guirlande émergent d’autres fleurs particulièrement délicates. Sous les anses, d’où part une couronne de myosotis entour un petit bouquet de roses. Le col est quant à lui orné de branches de rosier sauvage. L’ensemble, extrêmement décoratif, est rehaussé de décors à l’or faisant la transition entre chaque partie du vase et soulignant le modelé des anses. L’œuvre porte deux cachets apposés par la manufacture sous le règne de Louis-Philippe sous la base : dans un double cercle, un L et un P entrelacés sous une couronne est encadré par l’inscription : « SÈVRES », d’une part, et « 1846 », de l’autre.

Dimensions
Largeur : 30 cm
Hauteur: 57 cm
Profondeur : 23 cm

Cheminée de style Louis XV en marbre de Carrare

Dimensions
Largeur : 132 cm
Hauteur: 103 cm
Profondeur : 126 cm
Largeur intérieure : 92 cm
Hauteur intérieure : 78 cm

Cheminée de style Louis XVI galbée en marbre Arabescato

Dimensions
Largeur : 146 cm
Hauteur: 109 cm
Profondeur : 39 cm
Largeur intérieure : 101 cm
Hauteur intérieure : 85 cm