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Ma sélection
(19 Objets)

Ma sélection (19 Objets)


Importante cheminée ancienne en noyer sculpté et huile sur toile du XVIIè siècle d'après Giovanni Andrea CASELLA

Dimensions
Largeur : 204 cm
Hauteur: 333 cm
Profondeur : 100 cm
Largeur intérieure : 142 cm
Hauteur intérieure : 158 cm

Matthieu (1815-1889) et Willem (1816-1881) HORRIX (attrib. à) Importante salle à manger dans le goût « Forêt Noire ».

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Matthieu (1815-1889) et Willem (1816-1881) HORRIX (attrib. à) Importante salle à manger dans le goût « Forêt Noire ».

Cet ensemble a été réalisé dans la seconde moitié du XIXeme siècle. Les ateliers HORRIX, des frères Matthieu et Willem sont très probablement à l'origine de cette création. Le goût pour le rustique, souvent appelé « Forêt Noir » s'exprime ici pleinement. Les différents éléments ont été réalisés en bois de hêtre massif à patine brune, richement sculpté imitant la nature. Ainsi, toutes les parties des meubles semblent composées de branchages, racines, de plantes grimpantes, de fleurs et de fruits. Au détours d'une sculpture, on trouve des insectes cachés dans la composition (escargots, sauterelles, scarabée….). Les différents éléments sont tous en forme de végétaux, ainsi les prises des chaises sont constituées de branchages et les poignées des buffets de champignons. Cette Salle à Manger se compose de : - 2 BUFFETS BAS, ouvrant en façade par deux ventaux et deux tiroirs, le plateau surmonté de miroirs au mercure (oxydé). Dim. : Haut. 200 x Larg. 136 x Prof. 61,5 cm. - 1 DESSERTE, de forme trapézoïdale, le plateau en marbre Bleu Turquin est surmontée d'un plateau plus étroit, entre lesquels on trouve un miroir au mercure. La façade ouvre par deux tiroirs et le piétement est composé de deux plateaux d'entretoises. Dim. : Haut. 151,5 x Larg. 135 x Prof. 52 cm. - 5 BOÎTES À RIDEAUX, en forme de branche ornées de feuilles de vignes et chacune surmontée d'un panier de raisins. Dim. : Haut. 33 x Larg. 176 à 196 x Prof. 10 cm. - 1 TABLE ronde au piétement centrale quadripode (le piétement légèrement piqué). Possibilité de l'ouvrir pour l'agrandir (rallonges manquantes). Dim. : Haut. 77,5 x Larg. 127 x Prof. 133 cm. - 6 CHAISES, toutes uniques recevant chacune une décoration sculptée différente. La garniture en cuir marron. Dim. : Haut. 92 x Larg. 478 x Prof. 55 cm.

Paire de bancs en marbre de style néoclassique

Dimensions
Largeur : 159 cm
Hauteur: 45 cm
Profondeur : 46 cm

Portrait de Hans Holbein, un tableau en marqueterie de bois attribué à la Maison FOURDINOIS

Dimensions
Largeur : 21 cm
Hauteur: 35 cm
Profondeur : 5 cm

Cheminée de style Louix XV modèle Pompadour sculptée en marbre rouge du Nord

Dimensions
Largeur : 122 cm
Hauteur: 105 cm
Profondeur : 35 cm
Largeur intérieure : 87 cm
Hauteur intérieure : 84 cm

François-Désiré FROMENT-MEURICE, Coupe en argent, agate et malachite ornée d'un riche décor maritime, 1853

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François-Désiré FROMENT-MEURICE, Coupe en argent, agate et malachite ornée d'un riche décor maritime, 1853

Cette splendide coupe au décor marin fut exécutée par François-Désiré Froment-Meurice en 1853. Fils d’un modeste orfèvre mort peu après sa naissance, François-Désiré Froment-Meurice reprit le fonds de fabricant orfèvre de son beau-père, Pierre-Jacques Meurice, en 1828 ; quelques années plus tard, il hérita également de celui de marchand orfèvre joaillier. Lors de l’Exposition des produits de l’industrie de 1839, Froment-Meurice portait déjà le titre d’« orfèvre joaillier de la ville de Paris ». Son exposition, très remarquée, lui valut une double médaille d’argent en orfèvrerie et en bijouterie. À l’exposition des produits de l’industrie de 1844, il fut récompensé par une médaille d’or. Son inspiration était éclectique, et les techniques et les matériaux employés étaient variés (pierres dures, émail, nielle, repoussé…). Il exposa entre autres des commandes de la ville de Paris, un calice destiné au pape, la coupe des vendanges acquise par le duc de Montpensier. Il obtint à l’exposition de 1849 un rappel de médaille d’or ; l’on y remarqua particulièrement le surtout de table commandé par le duc de Luynes, et les premiers éléments de la toilette destinée à la duchesse de Parme, dessinée par Duban. La toilette entière (table, miroir, candélabres, coffrets) fut présentée à Londres, à l’Exposition Universelle de 1851, où elle assura par sa virtuosité le triomphe de Froment-Meurice. L’orfèvre mourut, au sommet de sa gloire, peu avant l’Exposition universelle de 1855. À sa mort, son fils lui succéda et devint par la suite l’un des orfèvres les plus brillants du Second Empire. Cette coupe associant placage de malachite, argent ciselé partiellement doré et émaillé, et agate mousse, fut exécutée précisément à la fin de sa carrière. Elle s’inscrit parfaitement dans sa production de petits objets extrêmement raffinés. Quatre pieds en forme de tortues soutiennent un socle plaqué de malachite selon la technique dite de la « mosaïque russe ». À partir de ce socle se dresse le pied en argent, dont l’abondant et délicat décor constitue la structure même. À la base, sur un lit de plantes aquatiques, un amour brandissant un trident serti d’une perle terrasse un monstre marin. Au-dessus s’épanouissent des plantes aquatiques accueillant également des perles, et s’achevant sur un motif de roseaux soutenant la coupe en agate mousse. La délicatesse de la ciselure de l’argent n’a d’égale que la subtilité de ses variations colorées. L’ensemble fait écho au goût de l’artiste pour l’orfèvrerie du xvie siècle. L’éclectisme et les historicismes tiennent en effet une place privilégiée dans son œuvre. Froment-Meurice exécuta une autre coupe, tout aussi précieuse, en s’inspirant également de l’orfèvrerie de la Renaissance. Il s’agit de la coupe dite « des Vendanges », aujourd’hui conservée au musée du Louvre.

Dimensions
Largeur : 11 cm
Hauteur: 20 cm
Profondeur : 10 cm

L'ESCALIER DE CRISTAL, Vase formant pendule à la monture au dragon, après 1885

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L'ESCALIER DE CRISTAL, Vase formant pendule à la monture au dragon, après 1885

Ce vase-pendule en bronze d’une grande originalité fut exécuté pour l’Escalier de Cristal à la fin du xixe siècle. Le mouvement est signé « Japy Frères et Cie ». Fondé vers 1808 par la veuve Désarnaud, cette célèbre maison fut reprise par les frères Georges et Henri Pannier à la fin du xixe siècle. Ces derniers la firent participer activement à la diffusion de la vogue du japonisme, dont cette œuvre est un beau témoignage, tout en conservant la grande qualité qui faisait la réputation du magasin. Le décor de l’objet, d’une grande qualité de facture, s’inspire de l’iconographie japonaise et tourne autour du thème du dragon. La pendule adopte la forme d’une potiche reposant sur une monture en bronze doré en forme de dragon menaçant à l’avant, et de nuages de fumée à l’arrière. La panse est ornée de motifs en bas-relief rappelant les panneaux japonais de l’époque Meiji. Est représenté un guerrier asiatique s’apprêtant à combattre un dragon. En partie supérieure, un cadran polylobé adossé à un motif lui faisant écho présente des chiffres inscrits en calligraphie japonaise, ainsi que deux aiguilles formant un dragon dont la forme ne cesse d’évoluer selon les heures. L’ensemble est couronné d’un chien de Fô s’étirant sur ses pattes avant. La qualité d’exécution et de la ciselure du piétement témoignent de la maîtrise du bronzier qui créa l’objet. Le vase-pendule figure dans un des carnets d’Henry Pannier sous la désignation « Vase cristal monture dragon formant pendule ». Le croquis témoigne de l’incontestable ressemblance de notre œuvre avec celle-ci. Le carnet indique en outre que seuls deux exemplaires de vase furent vendus : l’un, en cristal, et l’autre en bronze.

Dimensions
Largeur : 31 cm
Hauteur: 56 cm
Profondeur : 26 cm

Cheminée de style Napoléon III à modillon en marbre de Carrare

Dimensions
Largeur : 124 cm
Hauteur: 100 cm
Profondeur : 38 cm
Largeur intérieure : 88 cm
Hauteur intérieure : 78 cm

Conrad KIESEL (d’après), Portrait japonisant d’une femme vêtue d’un kimono, vers 1880

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Conrad KIESEL (d’après), Portrait japonisant d’une femme vêtue d’un kimono, vers 1880

Ce portrait d’une femme européenne vêtue à la manière d’une japonaise évoluant dans un décor japonisant fut probablement exécuté d’après une œuvre du peintre allemand Conrad Kiesel, présentant les mêmes traits. Plusieurs copies de cette œuvres, exécutées comme la nôtre en huile imprimée sur cuir gaufré, furent toutefois attribuées à Franz Schier. Sur un fond de cuir gaufré aux motifs de fleurs, de papillons (symbole d’éternité dans les cultures extrême-orientales) et de dragons, se détache une femme aux traits européens, mais vêtue à la manière des japonaises : elle porte un kimono à manches courtes (dit tomesode) ceinturé par un obi (large ceinture japonaise) noué dans le dos. Coiffée à l’aide d’un peigne en forme de papillonet de baguettes, elle tient un éventail dans la main droite. Son bracelet tient cependant davantage de l’orientalisme que du japonisme. Dans l’angle inférieur droit, ses jambes semblent prises dans un buisson de fleurs roses, justifiant ainsi le déséquilibre de sa posture. L’engouement né dans la seconde moitié du xixe siècle, notamment à la suite de la réouverture du Japon au commerce international et de sa participation à l’Exposition Universelle de 1867, prit le nom de « japonisme ». Celui-ci provoqua une véritable révolution dans l’art occidental, inspirant fortement de nombreux artistes, dans tous les domaines. Cette œuvre témoigne de la forte influence de l’art japonais sur les créations occidentales à la fin du xixe siècle, à la fois dans le sujet et dans l’exécution, notamment dans l’absence volontaire de profondeur et de perspective, toutefois nuancée par la présence des fleurs.

Dimensions
Largeur : 71 cm
Hauteur: 100 cm
Profondeur : 6 cm

Trumeau de style Louis XVI sur le thème du vin

Dimensions
Largeur : 127 cm
Hauteur: 175 cm
Profondeur : 3 cm

Petite cheminée de type modillon en marbre bleu fleuri

Dimensions
Largeur : 101 cm
Hauteur: 93 cm
Profondeur : 58 cm
Largeur intérieure : 70 cm
Hauteur intérieure : 72 cm