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(6 Objets)

Ma sélection (6 Objets)


E. MARTIN (ancienne maison RIVART),  Bureau en marqueterie à décor de paysage lacustre Exposition Universelle de 1889

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E. MARTIN (ancienne maison RIVART), Bureau en marqueterie à décor de paysage lacustre Exposition Universelle de 1889

Ce bureau au décor marqueté remarquable a été réalisé vers 1878 par le marqueteur E. Martin, comme l’indique la signature dans la marqueterie ainsi que l’étiquette, successeur de Julien-Nicolas Rivart (1802-1867). Ce dernier, habile artiste, est l'inventeur de la technique de marqueterie de porcelaine, un procédé unique, longuement mis au point et breveté en 1849, qu'il était alors le seul à maîtriser. Cette technique permet la synthèse esthétique entre la marqueterie florentine de pierres dures et la décoration en plaques de porcelaine du XVIIIe siècle. Il remporta un franc succès durant toutes ses participations aux Expositions Universelles de 1851, 1855 et 1867 et fut récompensé de médailles ainsi que des compliments Napoléon III et de l’admiration de l’Impératrice. Cependant, son procédé de marqueterie de porcelaine n’a pas connu de postérité après sa mort en 1867, bien que E. Martin tenta quelques années d’en perpétuer la technique avant de se concentrer sur la marqueterie de bois uniquement. Sa production reste aujourd’hui encore très rare et peu étudiée, on sait néanmoins, qu’il remporte en 1867 une médaille d’argent du Comité des ouvriers de Paris et une médaille de bronze à l’Exposition du Havre l’année suivante. Il ouvre son atelier au 56 rue Sedaine à Paris en 1872 et semble poursuivre son activité jusqu’en 1894, dernière année où il figure au Didot Bottin. D’après la mention de son activité, il abandonne la marqueterie de porcelaine et la référence à la maison Rivart à partir de 1890. Ses créations sont néanmoins couronnées de succès aux Expositions Universelle de 1878 où il remporte une médaille d’argent et ainsi que celle de 1889.

Dimensions
Largeur : 132 cm
Hauteur: 74 cm
Profondeur : 77 cm

Ferdinand Duvinage – Paire de vases soliflores à décor en marqueterie d'ivoire

Dimensions
Hauteur: 26 cm

Jules Barbe pour Thomas Webb (attribué à), Vase japonisant aux dragons, fin du XIXe siècle

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Jules Barbe pour Thomas Webb (attribué à), Vase japonisant aux dragons, fin du XIXe siècle

Ce vase au décor japonisant en verre opalin doublé fut probablement créé à la fin du xixe siècle, lorsque la vogue des objets extrême-orientaux et des œuvres s’en inspirant était à son pic. Il est attribué à Jules Barbe pour Thomas Webb. Thomas Webb fonda sa société en 1837 à Stourbridge en Angleterre. En 1842, l’entreprise s’appelait T. Webb & Co., avant de devenir Thomas Webb & Sons. Réputée pour ses verres camées, elle fut remarquée par le jury lors de l’Exposition Universelle de 1889 à Paris. Le rapport du jury encensa ses créations : « Il est inutile de revenir sur les qualités remarquables de cette fabrication. Comme toujours, la blancheur et la limpidité du cristal étaient complètes, et son éclat était rehaussé par la taille et surtout par le poli exceptionnel qui la caractérise » (p. 150). Jules Barbe donna plusieurs vases dans le cadre de sa collaboration avec Thomas Webb & Sons. Le décor de celui-ci est des plus travaillés. La panse arrondie présente un subtil dégradé allant du banc laiteux, en bas, au brun soutenu en partie haute. Elle est ornée de deux dragons ondulant parmi les feuilles évoquant l’érable du Japon et de fleurs variées. Le col, droit, s’évase vers le haut ; il est orné de branches et de fleurs de cerisier (sakura) stylisés. Les décors sont réalisés à l’or, avec quelques nuances de gris. L’engouement né dans la seconde moitié du xixe siècle, notamment à la suite de la réouverture du Japon au commerce international et de sa participation à l’Exposition Universelle de 1867, prit le nom de « japonisme ». Celui-ci provoqua une véritable révolution dans l’art occidental, inspirant fortement de nombreux artistes, dans tous les domaines. Cette œuvre témoigne de la forte influence de l’art japonais sur les créations occidentales à la fin du xixe siècle, à la fois dans le sujet (notamment avec les dragons, symboles de force et de pouvoir dans la culture extrême-orientale, et les sakura caractéristiques de sa flore) et dans l’exécution (principalement dans l’absence volontaire de profondeur, caractéristique de l’estampe japonaise).

Dimensions
Hauteur: 29 cm

Cheminée de style Louis XVI en marbre Turquin à cannelures rudentées

Dimensions
Largeur : 125 cm
Hauteur: 107 cm
Profondeur : 35 cm
Largeur intérieure : 81 cm
Hauteur intérieure : 83 cm