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Ma sélection
(16 Objets)

Ma sélection (16 Objets)


Lot de 27 m² de parquet point de Hongrie

Dimensions
Largeur : 7 cm
Hauteur: 50 cm

Lot de 12 m² de parquet Point de Hongrie

Dimensions
Largeur : 60 cm
Profondeur : 9 cm

Lot de 13 m² de parquet point de Hongrie

Dimensions
Largeur : 48 cm
Profondeur : 8 cm

Cheminée de style Art Déco en marbre brèché orange

Dimensions
Largeur : 114 cm
Hauteur: 100 cm
Profondeur : 32 cm
Largeur intérieure : 90 cm
Hauteur intérieure : 80 cm

François-Rupert CARABIN, Troisième Danseuse aux crotales, 1906

Ref.13625
François-Rupert CARABIN, Troisième Danseuse aux crotales, 1906

Cette sculpture en bronze patiné fut exécutée par François-Rupert Carabin en 1906. François-Rupert Carabin exerça dans de multiples domaines artistiques (sculpture, céramique, ébénisterie…). Il fut un pionnier du renouveau des arts décoratifs à la fin du xixe siècle et préfigura l’Art Nouveau. Une partie de son œuvre eut une dimension érotique qui trouve un écho dans sa Danseuse aux crotales. En effet, la danseuse est représentée nue, jouant des crotales. Les jambes pliées témoigne d’un mouvement grâcieux ; sa posture cambrée met en avant l’élégance du geste de ses bras ; son port de tête accompagne l’ensemble. Sa sensualité est accrue par la présence d’un bracelet de cheville, mettant en exergue la nudité du reste du corps. Elle tient des crotales, une percussion antique qui connut un certain renouveau au xixe siècle, notamment sous l’influence d’Hector Berlioz (1803-1869). Cette sculpture est la troisième d’une série de six figurines en bronze appelée « La Danse des crotales », qui fut exposée pour la première fois au Salon de 1906. Par la suite, le sculpteur réalisa une série identique à la première, où les danseuses sont habillées. L’œuvre est signée sur la terrasse. Un modèle similaire à notre sculpture est conservé au Musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg, qui possède une série complète des danseuses nues de Carabin.

Dimensions
Largeur : 10 cm
Hauteur: 24 cm
Profondeur : 11 cm

Lot de 18 m² de parquet Point de Hongrie

Dimensions
Largeur : 63 cm
Profondeur : 8 cm

Manufacture de Sèvres, Vase cubiforme à décor de danseurs de corde, 1867-1869

Ref.15199
Manufacture de Sèvres, Vase cubiforme à décor de danseurs de corde, 1867-1869

Manufacture de Sèvres, Vase cubiforme à décor de danseurs de corde, 1867-1869 Ce vase exceptionnel du modèle « cubiforme » à décor de danseurs de corde fut exécuté à la manufacture de Sèvres en 1867-1869. La forme et le décor de ce grand vase sont inspirés de l’art grec. Il adopte la forme des cratères en calice grecs : reposant sur un pied relativement bas, sa panse se déploie amplement en partie basse, prolongée par deux anses de part et d’autre, avant d’adopter une forme concave évasée en partie haute. La partie supérieure du vase est ornée d’un décor à la grecque de danseurs de corde. Un même motif est répété à trois reprises : une danseuse est en équilibre sur une corde ; au sol, un putto coiffé d’un bonnet phrygien brandit une perche. Sur l’autre face, le motif, de nouveau répété, présente quelques variations : la position des danseuses est légèrement différente et les putti manient des cymbales en accompagnement de la danse. Au sol gisent des instruments faisant référence au théâtre antique au monde dionysiaque qui lui était lié : carquois remplis de flèches, masques, coupes renversées, thyrses, cymbales et des tambourins, ainsi que clairons et trompettes. Le fond du vase est en revanche des plus modernes : il est en pâte dite « caméléon », inventée en 1848 par le chimiste de la manufacture de Sèvres Alphonse Louis Salvetat pour l’Exposition Universelle de 1862. Elle est appelée ainsi car sa couleur lavande a la propriété d’évoluer en fonction de la lumière sous laquelle elle se trouve, allant du mauve à la lumière du jour à un rose soutenu à la lumière artificielle. Les motifs en pâte sur pâte sont laissés en réserve, à l’exception des modelés subtilement nuancés, et seulement rehaussés de quelques touches de rose, de bleu et de noir. Cette polychromie limitée fait également écho aux vases antiques, généralement bicolores. Le vase est richement rehaussé d’or ; la large bande faisant la transition entre la partie supérieure et la partie inférieure du vase accueille les natures mortes accompagnant les putti et une large frise géométrique en réserve. Le modèle de ce vase fut créé au sein même de la manufacture de Sèvres en 1866, par le sculpteur-modeleur Nicolle. En tout, trois vases de cette forme seulement furent produits, tous à la même époque. Un seul, le nôtre, est indiqué comme portant un décor de « danseurs de corde » : il s’agit donc d’une pièce unique, sortie des ateliers le 30 avril 1869 et vendue 1600 francs de l’époque. Les marques en creux permettent de retracer le début de l’historique de ce vase au sein des ateliers de la manufacture de Sèvres. L’inscription se trouvant dans le col de notre vase indique : « DL-67-4 PROV adition 1re ED ». Elle permet d’identifier le tourneur (celui qui fit la partie circulaire de la pièce) : il s’agit d’Antoine-François-Toussaint Delacour (1805-1872), qui travailla à la manufacture entre 1839 et 1872. Le mouleur-répareur, qui s’occupa du garnissage, c’est-à-dire de l’ajout des anses, est Eugène Debord (1839-1904), qui y œuvra entre 1853 et 1893, d’abord comme tourneur, puis comme mouleur-répareur. La consultation des registres de 1867 confirme cette interprétation : Delacour, « tourneur de grandes pièces », travailla à ce vase en avril, ainsi que Debord. Une autre marque en creux, présente sous la base du vase, reprend une partie de ces indications, sans citer cette fois-ci le répareur. Les figures en pâte sur pâte furent exécutées par Marc Louis Emmanuel Solon (1835-1913), dont la marque aisément reconnaissable est visible en partie basse, en réserve, dans la dorure. Ce sculpteur-modeleur de figures travailla à la manufacture entre 1857 et 1871. Les registres indiquent qu’il travailla sur le vase à la fin du mois de février 1868, puis durant toute la durée des mois de mars et de mai. Quoique sa marque ne soit pas visible, les registres indiquent que la dorure-ornement et la garniture du vase furent réalisées par François Hallion, doreur et décorateur qui travailla à Sèvres entre 1865 et 1895, au mois d’avril 1868. Enfin, les marques de fabrication et de décor de la manufacture sont situées sous la base du vase. Elles indiquent les dates de 1868, pour la fabrication, et 1869, accompagnant le tampon du Second Empire, pour le décor. L’un des deux autres vases du même modèle, intitulé La Révolte des amours, est décoré d’un grand cartouche en occupant presque toute la surface, représentant une nuée d’amours cherchant à atteindre le petit Cupidon posé sur un piédestal et protégé par sa mère, Vénus. Quoique ce décor fût également exécuté dans l’esprit néo-classique, il est plus éloigné de l’inspiration directe des vases grecs à figures rouges ou noires que le vase aux danseurs de corde. Il présente aussi un fond caméléon, preuve du succès de cette couverte au moment de la confection de ces œuvres. Ce second vase témoigne de la présence originelle d’un couvercle, aujourd’hui disparu pour le nôtre. Il fait malheureusement partie des rares pièces dont la manufacture de Sèvres n’a pas conservé les archives : aussi n’a-t-il pas pu être restitué. Le vase cubiforme aux danseuse de corde n’en demeure pas moins une pièce des plus exceptionnelles de la manufacture de Sèvres, à la fois de par la rareté de sa forme et du fait de son décor combinant pâte caméléon, riche décor à l’or et subtilité des figures en pâte sur pâte.

Dimensions
Hauteur: 48 cm

Trumeau d'époque Louis Philippe à décor floral et végétal

Dimensions
Largeur : 105 cm
Hauteur: 150 cm
Profondeur : 7 cm